Découvrez Pascal Lécureux

PELEC : LA MAGIE DERRIÈRE LA CAMÉRA ET LES NOTES DE MUSIQUE

Chers amis du cinéma,

Aujourd’hui, préparez-vous à être transportés dans le monde fascinant de notre Président bien-aimé, Pascal Lécureux, plus affectueusement connu sous le nom de Pelec. Il incarne la passion débordante pour le cinéma et la musique de film qui anime notre association depuis ses débuts. Mais avant de dérouler le tapis rouge, laissez-moi vous emmener dans le passé. Pelec, ce n’est pas seulement un réalisateur et un mélodiste, c’est aussi un homme aux multiples facettes. Formé en tant qu’employé de commerce, il a jonglé avec les chiffres avant de décider que sa véritable passion était ailleurs. Son parcours atypique ne s’arrête pas là. Pelec a également embrassé le rôle de formateur d’adultes, partageant ses connaissances et sa passion avec ceux qui cherchent à apprendre. Un homme aux talents multiples, définitivement.

Et parlons d’amour, car l’histoire de Pascal ne serait pas complète sans mentionner sa rencontre avec Laure. Ensemble, ils ont créé une petite étoile nommée Sam, ajoutant une dimension magique supplémentaire à la vie déjà incroyable de Pelec. Maintenant, imaginez un jeune Pelec, originaire de Sonceboz, déjà plongé dans l’univers envoûtant des histoires. Tout a commencé à l’âge de 11 ans, lorsqu’il a découvert le monde magique de « Harry Potter ». Une rencontre qui a allumé la flamme de son amour pour la musique de film, particulièrement la bande originale du premier film, une œuvre maîtresse signée John Williams.

Le cinéma devient alors son refuge, une échappatoire bienvenue face aux défis de l’école. L’année 2001 marque un tournant avec la sortie du premier film « Harry Potter », une expérience qui résonne encore dans le cœur de Pelec. Et puis, en 2003, il est happé par l’univers onirique de Tim Burton avec « Big Fish », déclenchant chez lui le désir irrésistible de devenir réalisateur. Un parcours atypique, passant de la musique de film à la réalisation, soulignant l’importance souvent sous-estimée de la musique dans le monde du cinéma.

Pelec ne se contente pas de rêver, il passe à l’action. À l’âge de 16 ans, muni d’une caméra, il commence à explorer les méandres de la création cinématographique avec ses amis. Son premier film, « L’Affaire Martin Martin », pourrait être qualifié de novice, mais chaque échec est une pierre de plus dans la construction de son édifice cinématographique (pour les intimes et parce que c’est toujours un plaisir, une petite sélection des premières productions de Pelec est jointe en bas de page). Mais le chemin vers le sommet du cinéma n’est jamais linéaire. Une tentative de réadaptation moderne de Blanche-Neige est avortée, mais de ses cendres naît l’Association Cinématographique KinêmaGraphien. Un partenariat avec le groupe de jeunes « J’y Crois » à Bienne s’ensuit, et l’aventure cinématographique continue.

Malgré les hauts et les bas, Pelec maintient le cap. Il dirige « Game Over », un film sur la prévention contre la drogue, présenté à un concours de courts-métrages. Les projets se succèdent, les membres viennent et partent, mais Pelec reste le cœur battant de KinêmGraphien. Et puis, une série de 24 épisodes voit le jour, intitulée « L’École des Fées ». Même si Pelec admet des erreurs de réalisation, l’idée originale brille. Il écrit la saison 2, mais des péripéties logistiques le poussent à quitter le projet.

Mais ce n’est pas la fin de l’histoire. En 2012, avec peu de membres actifs, l’association renaît de ses cendres. Le projet de long métrage « Disparue » émerge, marquant un tournant dans le parcours de Pelec. D’autres projets émergent dans son esprit prolifique, dont « Requiem Eternam », où la musique devient l’âme du film. L’histoire continue avec l’évolution épique de la série « Parlez-moi de vous ». 

Au commencement, « Parlez-moi de vous » était une exploration du personnage du Dr. Yanakov, psychologue pour personnage de fiction, incarné par Denis Guring. Fabrizio, en tant que scénariste, a joué un rôle crucial en tirant le Dr. Yanakov hors de sa zone de confort. Ce processus organique a créé une série où chaque épisode devient une toile où la personnalité de Denis influence le Dr. Yanakov. Les saisons de « Parlez-moi de vous » sont un voyage émotionnel à travers la vie du Dr. Yanakov. La série prend une vie propre, façonnée par les membres de l’association.

La philosophie de Kinêmagraphien se reflète dans cette série. L’importance de la formation devient une priorité, et l’idée d’aller au-delà de simples projets agréables à des opportunités d’apprentissage concret prend forme. Ainsi, « Parlez-moi de vous » n’est pas seulement une série. C’est le reflet de la croissance, de l’expérimentation, et de l’évolution constante de KinêmaGraphien. Une œuvre où chaque membre contribue à la magie du cinéma, sous la direction éclairée de Pelec.

Le cinéma, pour Pelec, c’est plus qu’une passion, c’est une philosophie. L’importance de la formation pour les membres de KinêmaGraphien devient sa priorité. Des workshops avec des professionnels du cinéma sont envisagés, ouvrant la voie à une nouvelle ère pour l’association. Et voilà le futur qui se dessine. Pelec parle des plans ambitieux pour 2024 et 2025, avec la réalisation d’un long métrage, des formations approfondies et une progression hiérarchique au sein de l’équipe cinématographique. Un système qui offrira aux membres une opportunité d’apprentissage progressive.

Mais ce qui ressort le plus de cette histoire, c’est la dévotion inébranlable de Pelec envers KinêmaGraphien. Une passion qui a survécu à plus de 15 ans d’aventures cinématographiques. C’est son « bébé », son essence même. Pelec n’est pas seulement le Président de l’association, il en est l’âme. Alors, levons nos projecteurs vers Pelec, le réalisateur, le mélodiste, le président qui a transformé KinêmaGraphien en une véritable famille cinématographique. Comme il le dit si bien, « Le cinéma, c’est un travail d’équipe. Plus on est de fous, plus on peut faire un projet fou. »

À Pelec, qui a su conjuguer notes de musique et bobines de film, nous disons merci. Merci pour avoir rendu nos vies un peu plus magiques à chaque projection. Que l’aventure cinématographique continue, et que la magie de Pelec éclaire nos écrans pour de nombreuses années à venir !

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